Pas de souci pour l’emploi du terme écosystème start-up, car tout le monde l’utilise pour désigner un ensemble d’entreprises qui se trouvent dans une situation de démarrage mais à forte croissance.
L’évolution de l’écosystème start-up
Tout le monde doit être conscient des trois ingrédients incontournables quand on parle d’entreprise, que ce soit les anciennes ou les start-up. Ces trois éléments primordiaux sont le capital, le savoir-faire et la rébellion. Tout un chacun peut se permettre la combinaison et la proportion de ces ingrédients lors de l’installation de son entreprise. Il y a l’adage « qui se ressemble s’assemble » et par conséquent les start-up ont tendance à concrétiser et fortifier l’écosystème start-up, surtout en France en ce qui concerne l’idée d’innovation des start-up. Selon les observations, depuis les 5 dernières années, de nouveaux acteurs se lancent chaque mois, et ces acteurs deviennent de plus en plus segmentés sur des branches d’activités précises, telles que conseil, formation, accompagnement, financement, etc.
En ce qui concerne la fiscalité à l’endroit de l’écosystème start-up
Il faut rappeler la création d’entreprise fait partie intégrante de la stratégie socio-économique de la France.
Ainsi, pour encourager ceux qui veulent intégrer l’écosystème start-up, à l’instar des grandes entreprises, l’Etat instaure une fiscalité favorable en leur faveur. Entre autres, il s’agit de lancer le crowdfunding, le compte entrepreneur, etc. L’objectif est de permettre aux internautes d’entrer directement au capital de start-up, et ce faisant, accéder aux avantages fiscaux tels que la défiscalisation. Parce que l’écosystème start-up apporte positivement une valeur ajoutée dans le domaine de l’économie, il n’est pas vain d’ajuster la fiscalité en sa faveur, sans pour autant omettre les avantages fiscaux que les autres catégories d’entreprises peuvent jouir pour l’harmonisation de l’économie.