Qu’est-ce que le phénomène d’exil fiscal en Suisse ?

Avant de prendre la décision de quitter définitivement la France et de s’installer en Suisse, il est important d’être en connaissance de toute la ligne de la fiscalité suisse. Vous pouvez être séduit par le fait que sur ce territoire, la fiscalité est presque nulle. Ce point peut être trompeur et nous allons vous apporter dans ce dossier plus d’informations par rapport à la fiscalité suisse, ce qui vous permettra de prendre une décision par rapport à votre exil fiscal en Suisse.

L’impôt sur le revenu

Exil fiscal en Suisse

Vous ne pourrez échapper à ce type d’imposition et vous serez obligé de verser à l’administration suisse un impôt sur les revenus mondiaux sous réserve des conventions fiscales. Pour avoir une résidence fiscale en Suisse, vous n’aurez pas besoin d’une durée minimum de présence sur le territoire. Cependant, l’administration suisse apportera une attention particulière à votre présence physique sur le territoire et votre volonté de s’y établir durablement. Dans ce pays, l’impôt sur le revenu suit le système postnumerando annuel, ce qui fait que les revenus que vous percevez cette année seront déclarés et à verser pour l’année suivante.

L’impôt sur les gains en capital

En Suisse, il n’y a aucune imposition sur les gains en capital effectués sur la gestion de fortune privée. L’administration ne vous prendra aucun euro sur les valeurs mobilières, les immeubles, les meubles et les placements tant que ceux-ci sont dans le cadre de la gestion d’une fortune privée. Même s’il n’y a aucune imposition sur les gains en capital, certains cantons vous imposeront un taux spécial sur les plus-values immobilières.

Par rapport à cet exil fiscal en Suisse, vous devez plus vous renseigner si vous êtes marié, en couple ou en concubinage. On dit souvent que les couples mariés sont fortement taxés que ceux qui vivent en concubinage.

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