Avant de parler de l’imposition des dividendes, il s’agit de rappeler que par définition, le dividende représente une part de capital restituée aux actionnaires selon leurs apports dans l’entreprise. Effectivement, c’est une part des bénéfices réalisés par l’entreprise. Plusieurs sont les formes de restitution du dividende en faveur des actionnaires, par exemple en numéraire, en nature ou peut-être en actions.
Comment se passe nécessairement le versement d’un dividende
Le versement de dividende se passe normalement une fois par an.
Qu’en est-il de l’imposition des dividendes ?
Plusieurs formalités sont disponibles auprès de l’administration fiscale afin de pouvoir appliquer légalement l’imposition des dividendes.
Les entreprises, pourquoi pas les individus en tant que personne physique, doivent maîtriser ces textes, ces formalités et ces chiffres. Le cas échéant, l’appel aux prestations d’un avocat d’affaire est toujours capital. A la suite de la restitution de la part des bénéfices aux actionnaires, à titre de dividende, ces derniers sont soumis à l’imposition des dividendes, sous le régime de l’imposition des revenus. A noter qu’il existe distinctivement le régime fiscal pour les personnes physiques et pour les personnes morales. Pour les personnes physiques, l’imposition des dividendes suit les règles de l’impôt sur le revenu (IR). Il s’agit de mentionner, lors de la déclaration, le revenu fiscal des années précédentes (N-2 à la limite), la situation matrimoniale du déclarant. Pour les personnes morales qui sont soumises à l’impôt des sociétés (IS), l’imposition des dividendes suit ainsi la fiscalité des personnes morales.